Bondage sur une candidate idéale

Catégories : Femmes soumises SM camisole Bondage Shibari Kinbaku
il y a 8 ans

Je suis un fan des liens et du fait d'attacher des femmes pour qu'elles soient sans défense et livrées sans retenues à mon bon vouloir. J'ai cette "perversion" depuis très jeune, j'ai ressenti une émotion intense en regardant un Manga Japonais sur le sujet. Je n'ai plus cessé ensuite de rechercher des partenaires féminines pour exercer mon "art". J'ai appris les bons nœuds, les différentes méthodes très précises dans ce domaine et je n'ai pas peur de dire que je suis devenu un expert.

Je ne cache pas que les candidates ne sont pas légions et que celles qui peuvent tirer du plaisir de cette technique assez peu connue sont assez rares. J'ai oublié de dire mon prénom, David, que je suis plutôt pas mal et assez apprécié de la gent féminine qui ignore ce que j'apprécie dans la sexualité, et mon âge 31 ans mais cela n'a pas grande importance dans cette histoire.

Quand par hasard dans une soirée j'ai croisé une belle métisse franco Japonaise très typée, mon s a n g s'est figé et je suis resté un peu paralysé je dois dire. Elle avait le type exact de physique qu'il faut ! Une sorte de Geisha moderne, petite avec les cheveux très noirs avec une coupe parfaite, un français parfait qui dénotait une éducation très élevée. Très difficile pour moi de rentrer en contact mais surtout d'aller sur le terrain glissant de ma perversion sans la faire fuir.

Bref on a commencé à parler de banalité, de son travail, du mien, de sa situation personnelle, de la mienne de tout ce dont finalement je me moquais éperdument. J'ai incidemment parlé de manga et elle a répondu oui j'en ai vu c'est très à la mode curieusement en France en ce moment, c'est typiquement Japonais au départ pourtant ! Je répondis qu'il y a un coté manifestement érotique très fort et que les français sont réputés ... A cela elle rit mais précisa qu'il y avait aussi des choses assez perverses dans ce style. Je saisis la balle au bond et l'air de rien j'abordais le sujet du "bondage".

Son visage laissait paraître un intérêt selon moi, mais c'est difficile de lire sur un visage à moitié étranger parfois. J'insistais un peu en disant que j'avais lu et vu plusieurs ouvrages et vidéos sur le sujet et que je pensais comprendre cette "perversion". Vous savez j'ai 27 ans dit elle et mon père est français, ma mère purement Japonaise, j'ai vécu au Japon et je considère ce genre de choses comme une tradition ou un art et pas tellement une perversion finalement.

Et là directement elle me dit "Vous avez déjà essayé ? Parce que moi oui et le fait d'être attachée j'ai trouvé ça plutôt agréable !". Mon coeur a raté un ou deux battements, elle ne se rendait pas compte de ce qu'elle disait, cette fille était la quintessence de ma passion.

La voix tremblante je lui réponds que si elle veut recommencer je souhaite une expérience de ce genre mais que je sais que ma demande est osée et qu'elle ressemble à une proposition de caractère sexuelle en plus. Sa réponse est "oui bien sur que je veux recommencer, pourquoi vous êtes contre le sexe ? Ces pratiques débouchent souvent sur de la satisfaction sexuelle".

Inutile de dire que j'étais sur un nuage et que notre premier rendez-vous intime fut fixé au plus vite. Cette petite était un ange et elle était docile, douce et tendre, elle se laissait faire en appréciant quand je l'ai attachée en usant de mes meilleures cordes et de mes techniques éprouvées. Les crochets solides de mon plafond ont pour une fois été utiles et je l'ai mise dans la position classique très serrée du lotus. Impossible de bouger quelque membre que ce soit, la tête enserrée dans le réseau de liens qui passent par le cou et étranglent à chaque mouvement imperceptible.

Sa réaction très positive et touchante me rendait fou de désir, d'autant qu'elle m'avait dit laissez-moi attachée le temps nécessaire que j'en profite assez. J'avais une érection presque douloureuse et j'ai bien vu que cette petite coquine mouillait abondamment. Je l'ai laissée suspendue 10 minutes avant de lui demander si on pouvait aller plus loin car mon sexe était vraiment dur et me blessait maintenant.

Elle a simplement hochée la tête positivement, j'ai fais jouer la poulie pour la descendre à la bonne hauteur sans rien changer d'autre. Mon pénis avait déjà une très petite goutte transparente qui sortait du méat, c'est assez logique que quand je l'ai pénétrée elle a gémi car son vagin était étroit bien que totalement lubrifié. Elle conservait les yeux baissés et sa soumission m'excitait encore bien davantage. J'ai très lentement fait un mouvement de haut en bas en elle et j'ai senti immédiatement son vagin se contracter par à-coups assez forts je dois dire, elle haletait en essayant de ne pas faire de bruit je le voyais. Ma geisha chérie a joui à une vitesse stupéfiante, j'ai senti les vibrations dans son ventre et je l'ai inondée de ma semence il était impossible de me retenir plus longtemps.

Après être détachée Rida (son prénom) est redevenue la petite Japonaise sage et équilibrée, elle ressemble à une écolière modèle avec sa jupe plissée et moi je suis dingue amoureux. On se voit très régulièrement, ma hantise est quand elle s'absente longtemps pour voir sa famille à Osaka. J'ai toujours du mal à comprendre certaines choses, bien qu'elle soit à moitié française, elle a été élevée au Japon et notre culture est un peu différente. Par contre sur le plan sexuel et sur le BDSM et le bondage nous sommes dans un accord parfait, je ne peux pas me lasser d'elle et c'est réciproque je crois.

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Les asiatiques sont bien plus ouvertes que les Européennes pour la sexualité et le bondage. C'est un peu dans leur culture que d'attacher avec les cordes, à l'époque, elles étaient un accessoire de guerre et ou pour faire parler les ennemis
J'ai aussi toujours ressenti une émotion intense en regardant les Mangas Japonais sur le BDSM et le bondage. Cela donne des idées, parfois vilaines....
Effectivement, les bondages japonais de l'époque n'avaient rien de BDSM. Personne ne pouvait jouir sous ces bondage là, même les masos ne pouvaient aimé ça. Cela pouvait même aller jusqu'à devenir handicapant à vie.
Je confirme, le Kinbaku était un shibari de guerre. Il consistait à entraver la personne le plus rapidement possible. Les positions devenaient rapidement très inconfortables. C'était parfois le but pour les interrogatoires par exemple.
Il n'y avait qu'à attendre qu'ils parlent parce que les douleurs montaient progressivement jusqu'à les faire hurler.
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